Jésus, le Sublime Pèlegrin
est celui du Verseau. Sous ce signe les hommes vont avoir tendance
aussi à développer leur esprit et à consolider, en définitif, les qualités
réveillées et cultivées sous le signe du Poisson. Le langage poétique
de l’Astrologie ainsi se réfère aux hommes nés sous le signe du
Poisson. Ils sont profondément émotifs, irradiant de la sympathie,
mêmes lorsqu’ils sont rudes ou faibles; inquiets ils s’intéressent à la
vie psychique; ils sont réceptifs aux messages élevés, hospitaliers et
désintéressés; ce sont des romantiques, des rêveurs et connus comme
médiums; ils souffrent et deviennent amers lorsque quelqu’un est
offensé ou préjudicié; ils peuvent faillir dans la première recherche
de l’idéal supérieur, mais corrigent leur indécision, et quelques fois
le font avec le “sacrifice de leur propre vie”.
Cependant l’on peut considérer que de telles conditions
doivent déjà exister, voire même être enracinées chez les individus,
avant l’influence du signe astrologique, comme le poisson. Ce qui
est certain est que, Esséniens, comme chrétiens, se rejoignent par-
faitement à cette définition. Le signe du Poisson, laisse sa marque
incomparable dans les engagements de Jésus. Le propre Maître,
connu comme le “Pêcheur des Âmes” et ses premiers disciples ont
été des pêcheurs; le symbole qu’ils utilisaient entre eux était la figure
de deux poissons entrelacés; la propre église conserve encore dans
les mitres de ses prêtres, la forme exacte d’une tête de poisson; et
le carême interdit la viande, mais non pas le poisson! Les chrétiens
considéraient la figure du poisson comme le symbole de la pureté
génétique, par sa façon de procréer, indépendamment du contact
direct entre le mal et la femelle, et par la vie au sein de l’eau,
source principale et pour laquelle l’”homme devra renaître”, dans
le langage de Jésus. Concernant Pierre, Jésus le convia pour être un
“pêcheur d’hommes” et François d’Assisses, avait une prédilection
pour les poissons!...
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