Jésus, le Sublime Pèlegrin 

été écrite par quelque peuple de l’époque, qui n’eut pas été hébreu, 

dont la moralité plus commune se rapprocha de la rapine, de l’es-

clavage et des orgies sans limites. C’étaient des nations où les dieux 

pullulaient pour tous les goûts, même pour les pratiques licencieuses 

et qui sanctionnaient toutes les bestialités humaines, inclusivement 

le bûcher pour les enfants nouveau-nés pour le sacrifice païen.

[1]

 

La simple descente de Jésus chez le peuple israélite pour servir de 

source à sa mission, l’indique comme le plus habilité spirituellement 

pour la gloire du Messie. Et leur propre Bible mériterait, cependant, 

un peu plus d’affection des autres peuples, parce que c’est le solide 

fondement de l’édifice éternel du Christianisme.

[1] Note du réviseur: Les ammonites, les moabites, les phéniciens, les hittites et les habitants de 

Cana vénérèrent la divinité de Moloch, dont le culte consistait, en général, au sacrifice d’un nou-

veau-né dans le brasier qui ardait aux pieds de la statue de bronze incandescente.

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