Ramatís
lucidité mentale et se remémorent les plus lointains faits de leur exis-
tence humaine, depuis l’enfance. La chute des énergies physiques
à pour but de privilégier une plus grande liberté de conscience de
l’esprit. Il y a une tendance innée d’échappement de l’âme pour
fuir son corps physique, alors qu’il s’affaiblit. Le commun des mor-
tels dit que les créatures, au pic de la fièvre, ont pout habitude de
“varier”, c’est à dire qu’elles sont prises d’hallucinations, arrivant
même à identifier des personnes connues ayant déjà désincarnées,
tout comme elles voient des figures grotesques, des insectes ou des
choses étranges, qui ne sont pas du monde matériel.
Ainsi le jeûne était pour Jésus le recours bénéfique avec lequel
il condescendait l’excessive tension de son propre Esprit dans la
chair. Sa fabuleuse activité mentale provoquait d’excessives satu-
rations magnétiques dans l’aire cérébrale. Son corps alors, hyper
sensibilisé et sain dans tout son système, était un très très étroit lien
pour répondre aux exigences de sa conscience sidérale étendue. Les
neurones et les centres sensoriels restaient continuellement dans un
état de haute tension, ainsi comme la lampe modeste menace de
se rompre par l’énergie beaucoup trop puissante qui lui vient de
l’usine.
L’ange est l’entité la plus proche des attributs de Dieu, comme
la Sagesse, le Pouvoir, la Volonté et l’Amour. Par conséquent elle
possède des qualités supérieures à celles du type spirituel encore
réincarnables sur Terre. L’organisme physique ne lui offre pas les
recours nécessaires pour lui permettre une relation parfaite entre
le monde angélique et la matière. Même s’il n’avait pas été crucifié
à 33 ans, il n’aurait pas pu survivre plus longtemps, car son corps
charnel se montrait épuisé et incapable de répondre au haut degré
de ses exigences mentales.
Le Maître Jésus fut indiscutablement, l’entité de la plus haute
portée sidérale qui soit descendue sur votre orbe. Sa conscience
ample et puissante, luttait de façon impressionnante pour se stabi-
liser dans la commande d’un cerveau humain. C’était un énorme
ballon divin pris dans de très très délicats fils de soie. Son Esprit,
hyper actif et en vigilance permanente appliquait d’héroïques
efforts pour éloigner les énergies ardentes de la vie animale, qui se
multipliaient dans la sphère instinctive et tentaient de la dominer
tout autant qu’il les repoussait. Incontestablement, il s’agissait d’une
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