Ramatís
dans ses propos et était digne dans sa façon d’agir, mais ils étaient
dans l’impossibilité de le convaincre avec des arguments du propre
monde d’où ils vivaient, alors, ils se contentaient de lui dire en guise
de solution: “Mon garçon! Ainsi est le monde, et nous ne pouvons
pas le changer!” Et l’enfant Jésus, se retirait dans un coin silencieux
et là, restait à méditer ses équivoques quotidiennes, confus par les
motifs qui lui paraissaient si justes et nobles, mais lançaient l’incré-
dulité chez autrui.
Cependant, l’étape plus instinctive ou impulsive de la puberté
vaincue, lui-même reconnut qu’étaient prématurées ses recherches
ou solutions hors du commun devant son peuple. Il se recueillit plus
fortement à l’intérieur de sa propre âme et chercha là, les recours
de ce qu’il avait besoin pour réformer les hommes, avant de codifier
leurs péchés. Toujours est-il, et malgré le fait de réduire la tempête
émotive qui le lançait courageusement dans l’océan des recherches
interminables, de garder le silence là où il pouvait irriter; d’accepter
les impositions de l’environnement où il était né, comme la cote de
sacrifice pour le succès de son œuvre messianique, il ne put jamais se
fondre fadement dans la meute de l’humanité envieuse et insatiable,
et c’est pour cela qu’ils le mirent sur la croix.
QUESTION: Que pourrions-nous savoir du type d’alimentation coutumier de
l’enfant Jésus et de sa famille?
RAMATÍS — Comme nous vous l’avons déjà indiqué, Jésus
dès petit, révéla une profonde répugnance pour la viande, et les
quelques fois qu’ils lui en firent ingérer, il souffrit de violentes réac-
tions d’urticaire et subit des chocs anaphylactiques qui produisirent
de séreuses complications. La famille fut obligée d’éviter la viande
dans son alimentation, car cela produisait des impacts morbides
dans le très délicat tissu de son périsprit et lui désharmonisait le sys-
tème endocrinien par la perturbation chimique inespérée, résultant
fièvre et fatigue hépatique
[5]
.
Heureusement Joseph et Marie suivirent les coutumes des
thérapeutes esséniens, dont les végétaux, les fruits, les céréales et le
poisson, qui était abondant, prédominaient leur alimentation. Uni-
[5]Note du médium: Nous avons un membre de notre famille, aujourd’hui jeune homme et
absolument végétarien, dont des attaques circulatoires se manifestaient, lorsque jeune enfant,
et disparaissaient dès lors que ses parents éliminèrent la viande de son alimentation, conformé-
ment au conseil reçu des esprits désincarnés.
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